05/03/2013
Un an déjà !
Un an déjà que tu es parti toi le compagnon, l’ami fidèle. C’est fou comme le temps passe vite ! C’est fou comme tu me manques encore. Samedi j’ai à nouveau pensé à toi et à tout ce que nous avons vécu ensemble. Je regrette encore de ne pas t’avoir connu plus tôt, notre amitié n’en aurait pas été plus grande mais plus longue. Je garde le souvenir émouvant d’un homme simple, mais pas ordinaire. Un homme qui a travaillé durement tout sa vie pour ne rien devoir à personne, pour élever dignement sa famille, allant jusqu'à travailler seize heures par jour. Oui, tu avais le goût de l'effort et du travail manuel. Tu étais aussi bien bûcheron que menuisier, forgeron ou jardinier... tu as rénové la maison dans laquelle tu as élevé tes enfants. Tu savais faire tellement de choses qu'il est difficile d'en faire le tour. Quand à cette saloperie de cancer, j’espère qu’un jour nos chercheurs réussiront à lui tordre le cou. Christian a dit de toi les mots suivants lors de tes obsèques : "sollicité de toutes parts et toujours volontaire dans toutes ces associations et ton parcours professionnel, d’une générosité sans faille, tu étais toujours présent quant il le fallait. Ta simplicité, ton courage, ton dévouement, ton expérience, t’ont valu l’admiration de tous. Tu as su maintenir de vraies relations d’amitié. Tous ici présents, nous resterons fidèles à ta mémoire".
Comme il avait raison !
07:15 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Merci Denis, de nous rappeler, à travers ton hommage, la mémoire de Jean Marie.
Jean Marie était aussi un de mes vieux amis. Il était le petit frère de mon copain Fernand. Je l'avait vu naitre, dans les années 1948, dans "sa" rue Jean Jaurès.
1948... La belle époque de plein emploi et du dynamisme, dont Jean Marie y faisait si souvent référence.
Écrit par : Geldmine | 05/03/2013
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